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ESSAI DETENDEURS SUBAQUA 2004

Le test matériel de ce numéro est tout à fait spécial car, contrairement à nos habitudes, nous avons essayé de mesurer les performances des détendeurs en nous aidant d’une des machines les plus perfectionnée disponible à ce jour. Vous trouverez donc, en plus des impressions subjectives du plongeur dans l’eau, les courbes réalisées dans des conditions identiques.

La méthode utilisé est toujours la même, c’est à dire matériel sortant de l’emballage, pris dans le stock et destiné à la vente, sans préparation spéciale de la part des fournisseurs. Il est d’ailleurs à noter que, sur les15 détendeurs choisis, 4 on nécessité un passage en atelier afin de parfaire leur réglages… il est également à noter qu’il peut y avoir des différences entres plusieurs détendeurs du même modèle (différences s’amenuisant chez certaines marques…) et que donc, les résultat obtenus doivent être considérés comme ceux du détendeur essayé. Les performances et courbes obtenus ne sont pas nécessairement identiques à ceux présentés par les fabricant… mais je doute fort, également, que vous reproduisez fidèlement les données de consommations et performances des constructeurs automobiles.

L’idée de ce test détendeurs était de pouvoir les comparer dans les conditions réelles d’utilisation et non pas dans celles de la norme européenne. En effet, les constructeurs se gargarisent volontiers en produisant de superbes courbes, souvent totalement incompréhensible pour l’utilisateur et n’ayant de valeur que pour les initiés… Pourtant, la norme européenne, apparue en 1992, doit être suivie par tous, faisant ainsi le bonheur des fabricants de machines de test, de plus en plus perfectionnée et coûteuses. La plus importante et complète disponible en France, permettant entre autre d’essayer les détendeurs dans l’eau, est chez Aqualung à Carros, qui a accepté sans hésitation de nous accueillir pour cet essai « hors normes ». Il est à noter qu’ils ont mis à disposition leur banc d’essai, avec deux techniciens, mais que nous étions les maîtres d’œuvre et que même les détendeurs Aqualung essayés venaient de notre stock.

La découverte de la machine de test permet de se faire une idée de l’évolution de la technologie en plongée… et de voir que la norme européenne ne fait pas que des malheureux, ANTSI, fabricant de la majeure partie de ces machines ayant du accueillir la norme EN 250 comme une bénédiction. Les possibilités de test sont nombreuses, mais, outre les données purement « norme européenne », le but était de se rapprocher des conditions réelles d’utilisation. Pas de test à 50 mètres donc, avec un plongeur au bord de l’essoufflement et presque sans air, et qui, avouez-le manque singulièrement de chance… mais plutôt avec 150 bars dans la bouteille, 25 mètres de profondeur et 15 cycles respiratoire par minute, ce qui est beaucoup plus proche de la réalité.

Même dans avec ces paramètres, je dois avouer ma perplexité dans les résultats et, si la qualité de la machine n’est pas en cause, loin s’en faut, je reste extrêmement sceptique vis à vis des mesures réalisées. Un petit retour en arrière est nécessaire, et les plus anciens se souviennent certainement des banc d’essai « Spirotechnique » utilisés dans la plupart des centres de réparation (certains sont encore en service actuellement). Les test que nous faisions en atelier tenaient principalement à trois mesures, avec en général une pression de 150 bars :

- Le décollage, c’est à dire l’effort nécessaire à fournir afin que le détendeur commence à débiter.

  • L’effort nécessaire afin d’obtenir un débit d’environ 200 litres par minutes.

  • L’effort nécessaire afin d’obtenir un débit d’environ 400 litres par minutes.

Ces trois mesures permettaient à l’époque de comparer principalement la souplesse d’un détendeur, les débits de 200 ou 400 litres par minutes semblant dérisoires aujourd’hui…

Aujourd’hui, les conditions de test « machines » n’ont plus rien à voir car on ne parle plus « d’effort inspiratoire », en gramme ou millimètre de mercure, mais de « travail respiratoire » exprimé en « joules ». Le « travail total » comprend un cycle complet, c’est à dire inspiration et expiration, visualisable au moyen d’une courbe « ovoïde » et séparable en deux temps, travail « inspiratoire » et « expiratoire », le travail total ne devant pas dépasser 3 joules. Le coté positif est que l’on se préoccupe de l’effort expiratoire qui a longtemps été négligé, mais combien important, mais l’effet pervers de cette mesure fait que l’effort inspiratoire de base n’a qu’une importance extrêmement réduite, car seule la moyenne est calculée. Il s’agit pourtant pour moi d’une valeur particulièrement importante, car garante de la douceur d’un détendeur en plongée. Il est vrai toutefois que tout plongeur à ses habitudes et sa façon de respirer, sans compter ses habitudes avec son matériel. Il est d’ailleurs flagrant de constater une différence d’appréciation importante entre deux plongeurs sur le même détendeur suivant la façon de respirer.

Il faut également noter que les machines de test utilisent un « poumon » qui est en fait composé d’un cylindre et d’un piston qui agit de manière linéaire, sans élasticité ni modification en cours de cycle… contrairement au poumon humain, ce qui pénalise particulièrement les détendeurs pilotés sophistiqués, tels que le Jetsream et le Zeta.

Nous avons également complété nos mesures par un passage sur un banc d’essai tout à fait classique qui permet de donner l’effort initial à l’inspiration et une mesure du débit du premier étage.

Il est à noter que ce test n’a pas pour but de vous donner un classement et que les performances dans l’eau sont extrêmement voisines, même si elle peuvent sembler très différentes à la lecture des tableaux récapitulatifs. Il faut également constater une des qualités de la norme Européenne, c’est qu’elle a permis de supprimer du marché les détendeurs aux médiocres performances. Il s’est d’autre part confirmé dans l’eau la quasi impossibilité de faire la différence à 0,10 joule prêt ou même 0,20, d’autre critères interviennent comme le bruit, l’injection, le poids, etc.

Quelques cas précis me permettent, une nouvelle fois, d’affirmer que seul l’essai dans l’eau peut permettre de juger un matériel de plongée :

Le VX 100 était en léger débit continu à 25 mètres, mais bon pour le service d’après la machine, il est d’ailleurs paradoxal de noter qu’après réglage et débit continu éliminé, les performance expiratoires sont strictement identiques au banc ( !!!)

Le Jetsream, particulièrement dur au « décollage », passant ensuite rapidement à un léger débit continu, obtient un travail inspiratoire de zero à 25 mètres ( !!!)

Le cyklon 5000, passant sans problèmes les tests au banc, c’est avéré dans l’eau distribuer autant d’air que d’eau ( !!!)

Le Zeta, dont le courbe dans les conditions de la norme était justement « hors normes » s’est avéré très agréable en profondeur, mais avec un débit continu persistant en plongée à 25 mètres, m’obligeant à interrompre son utilisation. ( !!!)

L’ellipse de Cressi, qui passe sans problème au banc, mais qui était en léger débit continu en plongée à 25 mètres (un réglage y remédiera sans problème).

Si globalement, dans l’eau, ces détendeurs sont très voisins, (sauf les cas particuliers que sont les Poseïdon et le Zeta…), tous offrant un très bon niveau respiratoire. La différence se fera principalement au niveau de la façon de respirer, de l’esthétique et du positionnement en gamme, de la sensation d’avoir un détendeur qui sort de l’ordinaire, ou tout simplement de la réputation de la marque et de la garantie d’un service après vente sans soucis.

Il est également à noter que, 4 détendeurs sur 15 nécessitant un passage en atelier dès la sortie de la boite peut paraître angoissant… mais prouve bien, surtout en ce qui concerne le matériel technique, la nécessité de choisir un revendeur capable de vérifier et éventuellement régler le matériel qu’il vous vend.

Essai dans l’eau :

AQUALUNG LEGEND LX  (442 €):

1° étage à membrane, compensé, avec un surmoulage de protection. Deuxième étage de format classique, compensé également, avec réglage de l’effort à l’inspiration et du venturi, le tout assorti d’une esthétique particulière avec son cerclage doré ne passant pas inaperçu.

Détendeur très doux dans l’eau, à l’inspiration comme à l’expiration. Le deuxième étage, relativement encombrant par rapport aux boîtiers compact actuels n’est cependant pas trop lourd dans l’eau. L’embout buccal « anatomique » surprend au premier abord pouvant même donner la nausée, mais, avec l’habitude, permet un maintien en bouche sans effort du détendeur. (il existe toutefois deux modèles d’embout chez Aqualung).

PLUS :

confort respiratoire

réglage de l’effort à l’inspiration et du venturi

embout buccal très agréable... après un certain temps d’adaptation

Esthétique haut de gamme avec cerclage doré

MOINS :

boîtier 2° étage assez volumineux

embout buccal pas très agréable... pour ceux qui n’arrivent pas à s’y adapter (il existe une version plus classique adaptable).

AQUALUNG LEGEND (335 €):

1° étage à membrane, compensé, avec un surmoulage de protection identique au Legend LX. Deuxième étage de format classique, compensé, à l’esthétique plus sobre que le LX et sans réglage de l’effort à l’inspiration.

Même détendeur que le légend LX sauf le réglage de l’effort à l’inspiration. Les sensations dans l’eau sont donc voisines et le Legend est un excellent détendeur, sauf si l’on s’est habitué au réglage et à l’esthétique du LX…

PLUS :

quasiment les performances du LX pour 100€ de moins

même embout buccal que le LX

MOINS :

Esthétique sans originalité

pas de réglage de l’effort à l’inspiration

même embout buccal que le LX

CRESSI AIRTECH (349 €) :

Un premier étage à piston, compensé, avec tourelle pivotante.

Deuxième étage compensé également, avec réglage du venturi et de l’effort à l’inspiration.

Une esthétique particulièrement rétro et ne faisant pas spécialement dans la finesse.

Un détendeur méconnu mais aux performances tout à fait dans le coup. Réglage sans problème de l’effort à l’inspiration, même avec des gants, ce qui n’est pas le cas pour le venturi ou les gants sont de trop…Douceur et confort sont au rendez-vous et, si ce n’est la taille importante du deuxième étage et l’esthétique « particulière »…

PLUS :

confort respiratoire

réglage de l’effort à l’inspiration et du venturi

tourelle pivotante au premier étage

bonne évacuation des bulles

MOINS :

boîtier 2° étage assez volumineux

esthétique « particulière » rétro.

CRESSI ELLIPSE (280 €)

Une des principales nouveauté du test, esthétique originale, boîtier très léger dans l’eau et un agrément respiratoire sans problème à ce niveau de prix. Le cerclage titane du deuxième étage donne une connotation « haut de gamme ». Le petit nouveau de Cressi, propose un premier étage à membrane compensé se rapprochant, esthétiquement, de la concurrence... et un deuxième étage 100% nouveau, compact et de forme elliptique. Montage tout à fait particulier du capot, avec une articulation sophistiqué qui semble tellement évidente de démontage... qu’il vaut mieux pas essayer car, même si le mode d’emploi vous explique comment démonter votre détendeur (ce qui peut paraître une démarche surprenante !!!), je vous déconseille fortement de vous y aventurer, la manipulation n’étant pas dénuée de pièges et vous risquez de détruire définitivement ce beau deuxième étage.

PLUS :

Esthétique superbe avec inserts titane

boîtier compact et très léger.

confort inspiratoire

MOINS :

évacuation des bulles

manque « d’image »

OCEANIC DELTA 3 CDX 5 (299 €)

1° étage à membrane compensé, très classique d’aspect mais particulièrement bien fini.

2° étage avec réglage de l’effort à l’inspiration et du venturi, cerclage en aluminium brossé du plus bel effet.

Autre détendeur méconnu, mais extrêmement performant et très léger en bouche. Réglage de l’effort à l’inspiration particulier car le détendeur fuse molette desserrée. Léger en bouche, il est pourtant relativement bruyant à l’inspiration, ce qui gâche un peu le plaisir.

PLUS :

Confort inspiratoire étonnant alliant douceur et progressivité

boîtier compact très léger

réglage de l’effort à l’inspiration et du venturi

MOINS :

deuxième étage relativement bruyant

réglage du venturi quasiment inutilisable avec des gants

OCEANIC ZETA PX2 (499 € )

Un premier étage à piston, compensé, avec tourelle pivotante, très classique d’aspect.

2° étage surprenant par sa taille réellement minuscule et son look superbe, particulièrement apprécié des photographes pour leurs modèles.

Le détendeur testé au banc obtenait une courbe ne rentrant pas dans les critères de la norme, mais était très agréable au fond... après un bon réglage afin de supprimer son débit continu. Nouveau réglage nécessaire après 3 plongées ( !!!) donnant un détendeur capable du meilleur comme du pire.

Etonnant détendeur car capricieux comme une Diva… tantôt fabuleux, tantôt exécrable. Pour fanatique exclusivement ou nostalgique des belles mécaniques sophistiquées qui passaient plus de temps au garages que sur la route mais… quel plaisir et confort quand il fonctionne !!!

PLUS :

le plus petit des deuxièmes étages

performance étonnantes (si bien réglé...)

tourelle pivotante au premier étage

MOINS :

léger retard à l’inspiration caractéristique des clapets pilotés

Pas de réglage (celui du venturi aurait été le bienvenu au vu de sa facilité à partir en débit continu)

SCUBAPRO MK25 X 650 (588 €):

Premier étage MK 25 avec tourelle pivotante, deuxième étage à l’esthétique particulièrement originale, cachant un mécanisme classique compensé de S 600 optimisé. (les réparateurs ne regretterons pas la sophistication de son prédécesseur...)

Une douceur exceptionnelle dans l’eau, avec également une certaine propension à partir facilement en débit continu, si on ne prend pas garde de fermer le venturi en laissant sa bouteille en surface. Seule l’évacuation des bulles vient un peu gâcher le plaisir.

PLUS :

Confort inspiratoire étonnant, le plus doux des détendeurs testé.

réglage de l’effort à l’inspiration et du venturi

Esthétique sortant de l’ordinaire

tourelle pivotante au premier étage

MOINS :

extrême facilité à partir en débit continu

évacuation des bulles

SCUBAPRO MK 18 S 550 (399 €)

Un premier étage à membrane, compensé, chez le roi du piston… Tourelle pivotante, deuxième étage compensé également avec réglage du venturi.

Un haut de gamme simplifié au niveau du réglage extérieur. Boîtier compact très léger, pas de surprise dans l’eau au niveau de la douceur de très bon niveau, seule l’évacuation des bulles laisse à désirer.

PLUS

boîtier compact

réglage du venturi

très léger

tourelle pivotante au premier étage

MOINS :

pas de réglage de l’effort à l’inspiration

évacuation des bulles

MARES V16 PROTON METAL (399 €)

1° étage V16 à membrane, compensé, avec protection en techno polymère, deuxième étage compact, métallique, sans réglage extérieur, avec assistance par effet vortex.

Mares décline sa gamme Proton avec des boîtiers en métal qui sortent de l’ordinaire au milieu du monde du plastique… Ce deuxième étage ne semble pas plus lourd dans l’eau qu’un autre, mais l’injection d’air surprend par son agressivité et, même si l’efficacité est au rendez-vous, on ne peut pas en dire autant de la douceur. Très bon confort expiratoire ainsi que l’évacuation des bulles ne venant que peu perturber le champ de vision.

PLUS

esthétique particulière du boîtier métal

boîtier compact

effet vortex donnant une débit important

très bonne évacuation des bulles

expiration très douce

MOINS :

injection d’air « agressive » (gare aux dents sensibles)

pas de réglage d’effort à l’inspiration

effort inspiratoire

MARES ABYSS (419 €)

Un classique avec premier étage V 32 au débit impressionnant au banc. Deuxième étage métallique, assez volumineux et lourd, sans réglage extérieur, avec assistance par effet vortex.

Un peu plus de douceur dans l’eau que le Proton, mais un deuxième étage beaucoup plus encombrant, l’abyss payant ici l’ancienneté de sa conception (seul le capot a changé ces dernières années)

PLUS :

confort respiratoire

effet voltrex donnant une débit important

MOINS :

Boîtier assez volumineux et lourd

injection d’air « agressive » (gare aux dents sensibles)

POSEÏDON CYKLON 5000 (349 €)

Premier étage à membrane, compensé, deuxième étage original pouvant indifféremment être utilisé à droite ou à gauche (plébiscité par les spéléo). Positionnement latéral et vertical de la soupape d’expiration.

Le détendeur essayé donnait, dans l’eau, presque autant d’eau que d’air... et a donc nécessité un passage en atelier.

Même après un démontage pour vérification, le deuxième étage du Cyklon 5000 s’obstinait à fournir un mélange d’eau et d’air très surprenant qui s’amenuisait uniquement en inclinant la tête sur le coté… Débit de bon nivaux mais relativement dur à l’inspiration et à l’expiration.

Evacuation latérale des bulles laissant libre le champ de vison de l’œil droit ou gauche (au choix suivant le positionnement du détendeur)

PLUS

positionnement droite ou gauche

esthétique particulières

MOINS :

pas de réglage extérieur possible (si ce n’est le venturi, à condition d’avoir une langue particulièrement experte...)

dureté à l’inspiration

étanchéité de la soupape d’expiration pas toujours évidente de par sa position latérale

POSEÏDON JETSTREAM (349 €)

Premier étage à membrane, compensé, deuxième étage original à clapet piloté pouvant indifféremment être utilisé à droite ou à gauche.

Dans l’eau on remarque d’abord l’effort, puis le retard à l’inspiration… juste avant l’arrivée en force de l’air !!! Un détendeur demandant une certaine habitude et accoutumance.

PLUS:

débit impressionnant

positionnement droite ou gauche

esthétique particulière

MOINS :

léger retard et dureté à l’inspiration caractéristique des clapets pilotés

réglages « délicats »

dureté à l’expiration

BEUCHAT VX40 (320 €)

Premier étage à piston, compensé, avec tourelle pivotante. Deuxième étage compensé, avec réglage du venturi et de l’effort à l’inspiration.

Pas de surprise dans l’eau, si ce n’est un confort de haut niveau, la douceur de l’expiration n’étant toutefois pas la meilleure. Réglages très faciles d’utilisation, même avec des gants, seul le deuxième étage semblant un peu lourd en bouche

PLUS :

confort respiratoire

réglage de l’effort à l’inspiration et du venturi

tourelle pivotante au premier étage

MOINS :

boîtier relativement volumineux

BEUCHAT VX100 (345 €)

Premier étage à membrane, compensé, avec tourelle pivotante. Deuxième étage compensé, avec réglage du venturi et de l’effort à l’inspiration.

le détendeur testé avait un léger débit continu à 25 mètres, du à un réglage de la moyenne pression un peu élevé... qui n’a pas influé sur les courbes en machine ( !!!). Plus de problèmes après le passage en atelier.

Même sensations dans l’eau que le VX 40 (le deuxième étage étant identique)…

PLUS :

confort respiratoire

réglage de l’effort à l’inspiration et du venturi (utilisable sans problème même avec des gants)

tourelle pivotante au premier étage

MOINS :

boîtier relativement volumineux

APEKS ATX 200 (465 €)

Premier étage à membrane, compensé, avec tourelle pivotante. Deuxième étage compensé, avec réglage du venturi et de l’effort à l’inspiration.

Pas de surprise non plus dans l’eau, seul le boîtier encombrant ne semblant pas au goût du jour, les performances, elles sont tout à fait semblables aux autres haut de gamme au niveau du débit, si ce n’est l’effort à l’inspiration relativement important.

PLUS :

réglage de l’effort à l’inspiration et du venturi (utilisable sans problème même avec des gants)

expiration très douce

MOINS :

boîtier relativement volumineux

relativement dur à l’inspiration